Exposition individuelle

DESSINS ET LAVIS

Cette exposition à la Galerie Claude Luce est ma première exposition solo dans une galerie commerciale à Montréal. En 1976 j'avais toujours mon atelier à Knowlton dans le Cantons de l'Est mais je disposais d'un petit atelier à Montréal où je produisais des dessins et des lavis. C'est le résultat de ce travail que j'ai présenté en octobre à Montréal.

 

 

 

SANS FAUX SEMBLANT

 Ayant laissé tomber le cadre depuis 1982, la toile libérée et souple a pris de mauvais plis au cours de 1983.  L'exposition pésentée à la Galerie Michel Tétreault intitulée: SANS FAUX SEMBLANTS présentent une série de toiles d'allure sculpturale dont les plis ne sont pas faux comme dans les peintures anciennes surréalistes ou hyperréalistes non, ici tout est réel, il n’y a pas de faux semblants. 

MOTS CACHÉS LIGNES ET CONFIDENCES

La série MOTS CACHÉS, LIGNES ET CONFIDENCES fut présenté pour la première fois, à la galerie du Centre Culturel de l'Université de Sherbrooke du 7 mai au 7 juin. Une deuxième fois à la galerie de la défunte galerie de l'Anse-aux-Barques affiliée au Musée du Québec du  et une troisième fois au Musée de Joliette à Joliette du . J'ai fait une sélection d'une trentaine de dessins sur papier réalisées au fusain, pastel et encre. Ce sont des œuvres ou le noir et le blanc s’affrontent en s’harmonisant.

MOTS CACHÉS LIGNES ET CONFIDENCES

Présentée pour la troisième fois au Musée d'art de Joliette, MOTS CACHÉS LIGNES ET CONFIDENCES comprenait une vingtaine de dessins sur papier réalisées au fusain, pastel et encre. Ce sont des œuvres ou le noir et le blanc s’affrontent et s’harmonisent. Des masses noires ou brunes se laissent parcourir par des lignes blanches qui entremêlées à des espaces foncées donnent à l’ensemble une grande légèreté. Les lignes forment parfois des mots lesquels donnent aux dessins l’apparence de lettres formats géants.

PEINTURE

De 1963 à 1978  mon atelier principal était à Knowlton dans les Cantons de l'est. En 1974 à 1976, je résidais à Sherbrooke mais j'ai gardé mon atelier de Knowlton ce qui m'a obligée à voyager quotidiennement entre Sherbrooke et Knowlton. Ce va et vient fréquent  ainsi que la variété des couleurs dû au changement d'intensité de la lumière m'ont fortement influencées à aborder le paysage d'une façon libre sans contrainte.

DU SOL AU MUR

En 1979, je m’installe définitivement à Montréal, je commence à travailler le papier comme matière à recevoir des traces, à absorber les couleurs, à prendre les empreintes et être la mémoire de l’œuvre à venir. C’est à partir de cette époque que j’ai commencé à travailler à même le sol rendant mon plancher beau à voir et est devenu ma source d’inspiration principale. Pour garder en mémoire ses différentes transformations j’ai utilisé l’appareil photo à la manière d’un archéologue. La photo me permet de suivre de près les étapes successives de la mise en forme d’une œuvre.

NATURE MORTE SOUS INFLUENCE

Poursuivant ma recherche sur les courants picturaux j’ai choisi, à l’automne 2014, de traiter de la NATURE MORTE. Afin de l’aborder d’une façon inhabituelle, j’ai choisi une loupe et un réflecteur, deux objets banals. D’où l’idée, à cause de l’appareil photo, de concevoir une fiction se rapprochant d’une intrigue fictive. Pour développer mon sujet, j’ai choisi une image créée numériquement provenant de mes archives.