Denyse Gérin

RASSEMBLEMENT, évoque une réunion, l'artiste a fait un mise en scène, qui grâce à la qualité réflective des objets, permettait d'avoir une vue inattendue de l'atelier.

ZOOM, faire le zoom est un terme anglais souvent utilisé en français pour décrire une action lors de la prise de vue quand l'artiste s'avance au plus près de l'objet à photographier et que ça lui donne une nouvelle apparence.

BROUILLAGE, le titre de cette oeuvre évoque toutes les possibilités et la beauté de cet objet irradiant dont le premier rôle est d'éclairer et d'illuminer. Présenté en gros plan tous les éléments autour sont confondus.

Tous les titres de la série NATURE MORTE SOUS INFLUENCE ont été choisis en rapport avec ce que l'oeuvre créée m'inspirait, TRIADE évoque pour moi un style lyrique pindarique.

Tous le titres, de la série NATURE MORTE SOUS INFLUENCE, ont été choisis en rapport avec l'estampe créée. EXAMEN, évoque une des caractéristiques de la loupe qui nous permet de voir de plus près.

Durant l'hiver 1976  j'ai fait plusieurs dessins à l'encre et aux crayons feutres à partir d'une idée, ces lavis étaient exécutés très rapidement laissant libre court à ma main.

Oeuvre tridimensionnelle spécialement créée pour participer au concours DUCHAMP-VILLON. Elle comprenait une oeuvre imitant la palette du peintre installée sur un chevalet et, en répétition, plusieurs palettes reprographiées et suspendues à un crochets. Ces palettes pouvaient être enlevées et touchées par les visiteurs à la manière de Marcel Duchamp qui s'appropriait des objets réels pour en faire des oeuvres d'art.

Toutes les oeuvres créées durant les années soixante font partie de la série EXPLORATION.  Cette oeuvre intitulée : CONSTRUCTION 4  faisait partie de l'expositon intitulée:  TROIS PEINTRES DE l'ESTRIE  au Centre Culturel de l'Université de Sherbrooke et organisée  par Claude Lafleur directeur de la Galerie. Cette exposition était ma première exposition de groupe.

En 1967, mon atelier était situé à Knowlton, village des Cantons de l'Est. Un ami avait à Waterloo une usine de meubles, il m'a permis de prendre les bouts de bois qui ne servaient plus. Ces débris m'ont servi à construire des oeuvres à la manière des peintres du Pop art, très colorées et de style géométrique, j'ai aussi pensé à Fernand Léger. Ces oeuvres ont été exposées en 1968 à la galerie du Centre Culturel de l'Université de Sherbrooke.

Ces abstractions au nombre de quatre ont été créées pour être intalléées chacune sur un chevalet faisant partie de l'installation de la salle 1, qui comprenait un socle de 117 x 117 cm x 30.5 cm de haut qui avait deux cotés distincts.