Notices biblographiques

Pour répondre au thème j'ai choisi l'autoportrait, comme tous les humains j'ai rêvé d'une éternelle jeunesse. Cette oeuvre ne me représente pas tel que je suis aujourd'hui, d'ou le titre choisi: CECI N'EST PAS MON PORTRAIT,  un clin d'oeil à Marcel Duchamp.

À l'occasion de la 13e exposition internationale intitulé: UNE VISION DU FUTUR, le catalogue illustre la vision des artistes de faire voir le futur autrement. 

L'exposition,PASSAGES SECRETS suite fin, fut présenté au Centre d'exposition d'Amos à Amos au Québec, du 4 septembre au 11 octobre 2009. À cette occasion le Centre d'exposition a publié un catalogue-dépliant illustrant et décrivant le travail de l'artiste.

PASSAGES SECRET ou l’artiste dans son élément, est mon premier projet réalisé à l’aide de l’ordinateur et d’un logiciel de traitement d’images PhotoImpact.  Il parle de l'atelier, du mien comme celui de l’autre et de la nécessité de certain artiste à se définir à travers un lieu qui le représente et qui lui sert de point d’ancrage. Ce projet a mis fin à ma recherche sur l'atelier de l'artiste.

À l'occasion de l'exposition : PASSAGES SECRETS ou l'artiste dans son élément, un livre d'artiste à compte d'auteur a été publié, il réunissait en format réduit les oeuvres de l'exposition. Jacques Boulerice, écrivain, en a écrit la préface suivie de cinq textes de Denyse Gérin, la reliure est de Jacques Fournier. Le livre a été tiré à 8 exemplaires HC, numérotés et signés de I à VIII et à 12 exemplaire pour la vente, numérotés et signés  de 1 à 12. Contenu du livre 27 pages, 12 estampes numériques sur papier Hahnemühle Photo Rag gsm tirage jet d'encre qualité archive. 

La Maison des Arts de Laval a publié à l'occasion de l'exposition DE L'ATELIER DU PEINTRE À LA SALLE D'EXPOSITION, un catalogue-dépliant dont le commissaire et l'auteur du texte théorique était le professeur d'histoire de l'art Jacque Blouin.

Cette exposition-installation relatait l'histoire d'un mur de ruelle, destiné à une destruction prochaine. Elle a eu lieu à la Galerie d'Art Matane du 20 septembre au 21 octobre 2001. Cette Galerie est aujourd'hui disparue sans laisser de traces. J'ai publié à cette occasion un dépliant énonçant la démarche du projet afin de révéler la beauté de ce mur abandonné.

« S'il se fait par l'artiste avant et après la création, le processus intellectuel propre à une oeuvre doit également se poursuivre à travers le regardeur. L'art, ce n'est pas juste aller voir quelque chose de beau dans un musée ! Il faut que le fait de regarder devienne une forme d'expression. Il ne faut pas seulement regarder ce qu'on nous impose; il faut regarder par rapport à soi . Denyse Gérin aimerait que tout ses spectateurs soient en mesure d'évoluer personnellement, de s'approprier ce qu'ils voient et le rapporter à leur propre expérience pour mieux la comprendre, pour mieux se comprendre.» Voici quelques phrases extraites d'un interview de L'artiste Denyse Gérin à Karine Charbonneau pour le Tempo diffusé dans CANOË, LE 23 JUIN 2000.

À Montréal, c'est la Maison de la Culture Côte-des-Neiges qui a accepté le projet d'exposition DES CORRESPONDANCES et du groupe FORMAAT. Deux groupes d'artistes, de ville et de pays différents qui avaient entamé une correspondance de mots et d'images depuis 1997.

À l'occasion de cette importante exposition un catalogue fut publié grâce à la participation de plusieurs partenaires. Le texte théorique a été écrit par l'historienne de l'art et commissaire d'exposition Louise Déry.

Une exposition-installation qui mettaient en opposition deux modes d'expression la photographie et la peinture.

 Le Conseil de la Peinture du Québec organise à chaque année une exposition collective itinérante des ses membres et publie un catalogue intitulée cette année PLURALITÉ 1994-1995.  Cette association d'artistes est maintenant connue sous le nom du RAAV.  https://www.raav.org/quest-ce-que-le-raav

En 1994, lors d'une publication collective, le Centre de recherche sur les applications pédagogiques de l'ordinateur APO-QUÉBEC, le directeur Pierre Bordeleau nous a demandé à Claire Meunier, pédagogue et à moi Denyse Gérin, artiste visuelle, un texte expliquant notre implication dans l'environnement pédagogique et artistique informatisé que nous avions créé et réalisé pour notre projet ÉCOLART réalisé en 1988-89. L'expérience ÉCOLART s'inscrivait dans une démarche qui visait à tisser des liens entre des élèves du premier cycle du primaire et une artiste lors de son exposition-installation au musée, par l'intermédiaire de la télématique. Des activités ont eu lieu avant et pendant la visite au musée à l'aide de terminaux ALEX, fournis par Bell Canada, installés dans les classes de l'école, au musée, dans l'atelier de l'artiste, et dans les locaux des chercheurs.

En 1991 j'ai orienté ma recherche vers l'autoportrait comme mise en représentation de l'acte de peindre en m’inspirant du célèbre tableau LES MÉNINES. Suite à ce travail, j'ai réalisé, en 1993, trois installations développant trois volets différents AUTOUR DE L’AUTOPORTRAIT dont un en noir et blanc à la Galerie Séquence de Chicoutimi du 24 septembre au 24 octobre. Un catalogue, dont le texte théorique a été écrit par Manon Régimbald, a été publié à cette occasion.

Ayant réalisé en 1993, trois installations développant trois volets différents AUTOUR DE L’AUTOPORTRAIT en noir et blanc et en couleur, le premier volet a eu lieu dans le magnifique espace de  la galerie Expression de St-Hyacinthe. 

De 1990 à 1993 j'ai entrepris un projet autour de l'autoportrait, projet que j'ai présenté à trois centres d'expositions. À cette occasion j'ai publié à compte d'auteur un catalogue dont le texte théorique a été écrit par Manon Régimbald, historienne de l'art.

Ce catalogue est la version écrite et illustrée de la conférence donnée au cours de la semaine comme artiste invitée en résidence au Manoir MacDougall, propriétée de la ville de Montréal. Un diaporama illustrait cette conférence qui résumait en images ma carrière d'artiste de 1979 à 1992.

Le service des loisirs de la ville de Montréal a organisé, en 1992, REGARDS SUR L'ART 3, au Manoir McDougall, il s'agissait d'ateliers qui s'adressaient  à une clientèle de 18 ans et plus avec expérience ou sans expérience en peinture. D'une durée de 2 semaines, chaque périodes réunissait des artistes invités en résidence, qui travaillaient en compagnie de la clientèle. Chaque artiste devait faire une conférence pour expliquer sa démarche. 

Le 2e volet de ce projet : TRANSGRESSION À L'ÉCHELLE:LES CHEVALETS  a eu lieu  au 2e étage du Musée de Lahine. L'installation était divisée en trois espaces une première petite salle, un corridor et une grande salle avec en évidence des chevalets de toutes dimensions et plusieurs tronchés.

Une exposition pour parler de l'an 2000, année mythique par excellence qui laissait même présager la fin du monde, la raison pour la quelle la ville de Montréal a demandé aux artistes de l'imaginer à leur façon.

ALEX FAIT SON ENTRÉE AU MUSÉE, tel est titre choisi par Jean-Pierre Proulx, professeur, journaliste et écrivain, dans le journal LE DEVOIR du mercredi du 12 juillet 1989. Il soulignait l'originalité de cette exposition-installation comme étant une première au Québec et au Canada. En effet c'était la première fois qu'une artiste visuelle se servait de la télématique pour faire entrer un musée (le musée de Lachine) dans une école (PhilippeMorin de Lachine) et vice-versa, l'école faisait son entrée au musée.

Plus qu'une simple exposition, cet événement tente de faire l'expérience du partage de la mémoire entre l'artiste Denyse Gérin et les élèves du second cycle du primaire de l'école Philippe Morin de Lachine. Grâce à télématique, les élèves ont pu suivre en direct chaque étape de l'évolution de l'oeuvre à faire en plus l'artiste leur a demandé de participer à l'exposition en créant une oeuvre collective en rapport avec le thème soit: L'EAU, LE CIEL ET LA TERRE dans leur environnement immédiat.

Profitant de mon projet ESPACES URBAINS ou croissement de mémoire, à la Galerie Alliance de Montréal et aussi au Musée Régional de Rimouski, j'ai entrepris l'édition à compte d'auteur, d'un catalogue relatant la démarche et ilustrant les oeuvres représentées dans les deux expositions.

La défunte Galerie Michel Tétreault Art Contemporain publiait à chaque exposition un catalogue-dépliant illustré, en anglais et en français. À l'occasion de mon exposition le texte théorique a été écrit par l'historienne d'art Nicole-Blondin Dubreuil, professeure à l'Université de Montréal et la traduction angaise par Betty Howell.

La revue VIE DES ARTS, est une revue publiée quatre fois par année, à chaque numéro elle avait une rubrique qui signalait, à l'attention des lecteurs, certaines exposiitions à visiter. https://viedesarts.com/Accueil

Organisé par la directrice de la défunte galerie AUBES  Annie Molin Vaseur, ce premier concours de LIVRES D'ARTISTES ART CONTEMPORAIN, étonne par la diversité des oeuvres présentées. C'était vraiment le livre présenté sous toutes ses formes. Un catalogue a été produit et le texte écrit par l'historien de l'art René Payant.

DU SOL AU MUR exposé à la défunte Galerie Treize, je travaillais, à cette époque, agenouillée au sol, sur des toiles non montées qui absorbaient les traces de mon plancher. De multiples traces qui se sont multipliées donnant, à mon plancher d'atelier, ses lettres de noblesse le transformant en oeuvre d'art.

En 1981, la Galerie l'Aquatinte a demandé à Jacqueline Fry, muséologue, professeure à l'Université de Montréal, de faire participer ses étudiants au montage d'une exposition de dessins et d'estampes réunissant des oeuvres de 1971 à 1981 d'artistes de la Galerie .

Jacques Charbonneau a fondé la défunte galerie Motovation V en 1979, en 1981, elle a présenté une exposition intituée : PEINTURE FRAÎCHE dans deux salles de sa galerie.

CRÉATION QUÉBEC  est le troisième concours d'estampe et de dessin présenté par le Centre culturel de l'Université de Sherbrooke et doit être le dernier organiser dans sa forme actuel.

La défunte Galerie Aquatinte, dirigée par Régis Fournier, situé sur la rue de Grand-Pré à Montréal, a publié en 1981 un premier BULLETIN D'INFORMATION intitulé L'AQUATINTE. Une édition sous forme de bulletin trimestriel afin de rendre justice à ses nombreuses activités et pour remplacer le carton d’invitation. La publication coïncidant avec mon exposition-installation, le directeur me demanda d’écrire un texte expliquant la démarche de ce projet intitulé : MÉMOIRE AU RAS DU SOL. Ce fut ma première installation créée avec la collaboration de Claire Meunier photographe dont les œuvres, ayant servies à la création, étaient intégrées à  l’installation qui comprenait aussi  mon escabeau et mon soulier.

LES CAHIERS 1979-1983, est une revue trimestrielle qui fut fondée en 1979 à Sherbrooke par Graham Cantieni, artiste et directeur de la Galerie de l'Université de Sherbrooke. En 1981 la revue publie un numéro sur différents sujets liés à différents métiers d'artistes en demandant à des historiens d'art et à certains artistes de parler de gravure, de peinture, de sculpture, des  textes et des  images illustrent ses propos.

Le RACE fondé  en 1973, par Graham Cantieni fraichement arrivé de son Australie natal, regroupait, pour la première fois, un groupe d'artistes vivant isolés dans les villes et villages des Cantons de l'Est, de Granby à Sherbrooke en passant par North Hatley, Knowlton, Magog. En 1983 ce groupe s'est agrandi, s'est développé a pris son essort. Plusieurs artistes ont quitté le groupe pour s'aventurer à Montréal tel mon cas.

Organisé par le Centre culturel de l'Université de Sherbrooke, ce concours réunissait 96 oeuvres graphiques de 48 artistes québécois. Il visait à faire connaître la diversité des nouvelles tendances et marquer l'évolution à cette époque dans les techniques de l'estampe et du dessin.

À l'occasion de la publication de ce numéro spécial sur la région de Sherbrooke, la direction de la revue a chargé Gilles Daigneault historien de l'art de décrire L'AVENTURE CONTEMPORAINE LIGNE ET RYTHME DANS LES CANTONS. Celui-ci s'est pariculièment intéressé à certains artistes du Regroupement des Artistes des Cantons de l'Est dont Claude La fleur, Denyse Gérin, Graham Cantieni, André Malo, Jacques Barbeau, Mimi Dupuis, Madeleine Audet pour ne nommer que quelques uns.

La Galerie d'art du Centre culturel de l'Université de Sherbrooke a organisé en 1977 un premier Concours d'Art Graphique Québécois. Un dépliant catalogue a été publié a cette occasion,  c'est Louise Letocha, directrice, à cette époque, du Musée d'art Contemporain de Montréal qui en a écrit le texte théorique.

En 1977, Andrée Paradis, directrice de la revue québéquoise VIE DES ARTS, était correspondante de la revue française ARTS ET LETTRES, a écrit un article illustré sur le Concours d'art graphique québécois, on y voit une photo de l'oeuvre de Denyse Gérin qui illustrait le catalogue-dépliant publié à cette occasion. 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Prix_Arts_et_Lettres_de_France

En 1976, le journaliste du DEVOIR  Jean-Claude Leblond, dans sa chronique du 30 octobre 1976, intitulée: Coup d'oeil sur les expositions, écrit que les dessins, que Denyse Gérin expose à la défunte Galerie Claude Luce, oscillent entre deux manières d'envisager son art et souligne que dans les deux cas il s'agit de structures.

En 1976 trois artistes, du Regroupement des Artistes des Cantons de l'Est, soient Gérin, Cantieni, Malo reçoivent une invitation du Centre Culturel de Vacourt pour exposer.  

Le Devoir souligne dans sa rubrique Cahiers arts et lettres du 17 janvier 1976, l'expostion à la galerie Claude Luce de trois peintres de l'Estrie en décrivant les oeuvres de chacun des artistes.

Trois artistes, Cantieni, Gérin Mondou, du Regroupement des Artistes des Cantons de l'Est exposent dans une Galerie commerciale à Montréal.

Cette exposition à la Galerie MENA'SEN, récemment ouverte à Sherbrooke, fut ma première exposition solo, une étape importante dans ma carrière, une rampe de lancement en quelque sorte. Elle s'est poursuivie par la suite à Montréal et à travers le Québec.

Le RACE, regroupement d'artistes ayant pour mandat de faire connaître le travail et les oeuvres d'artistes professionnels, a organisé plusieurs expositions dont une au Centre d'Art du Mont Orford à l'été 1974.

Le journaliste Rea Montbizon du journal La GAZETTE décrit l'origine cette maison historique situé au 160 Notre-Dame Est et parle de sa transformation en Galerie d'art, par la compagnie d'Assurance La Sauvegarde. Comme il s'agit de l'ouverture officielle et de la première exposition collective, il présente les membres du jury qui ont choisi six jeunes artistes provenant de Montréal, Toronto, Québec, Chicoutimi, Trois-Rivières et de Knowlton.